Les galères s'enchaînent pour Poupette Kenza. Il y a quelques jours, l'influenceuse a annoncé à ses abonnés qu'elle avait pris la décision de se séparer de son mari Allan. "Je préfère le dire sur TikTok parce que je ne veux pas de buzz. Je ne veux pas de top tweet, je ne veux rien de tout ça. Je veux juste vous dire les choses. C'était réfléchi depuis longtemps. (...) Je pars avec les enfants c'est officiel. Ma décision est prise. C'est très dur pour moi, je ne vous le cache pas", avait-elle déclaré.
Mais, seulement quelques jours plus tard, le ciel lui est tombé sur la tête quand elle a vu des vidéos du père de ses enfants avec une autre femme. Elle a explosé de colère en story, tandis qu'Allan et sa supposée maîtresse ont tout nié en bloc.
En plus de ses histoires de coeur, cette fois, ce sont des ennuis avec la justice qui viennent de frapper celle qui est partie vivre à Dubaï. Depuis quelques mois, le combat mené par Booba contre les influenceurs porte ses fruits et ces derniers commencent à être épinglés un à un par la DGCCRF. Cette fois, c'est Poupette Kenza qui a été visée et condamnée à payer une amende de 50 000 euros !
En l'apprenant, celle qui a reçu beaucoup de moqueries suite à sa montée des marches à Cannes s'est évidemment munie de son téléphone et a pété un câble en story. "Mais ce sont des gros voleurs ! J'ai trop les nerfs ! 50 000 euros d'amende comme ça, c'est une honte !", hallucine-t-elle, avant d'expliquer qu'elle avait été poser des questions à tous les influenceurs qui avaient déjà été épinglés et qu'ils lui avaient tous assuré que ce n'était qu'un "rappel à la loi". Ils lui ont également affirmé qu'ils n'avaient pas eu d'amende.
"50 000 euros ! Des gros voleurs, j'ai trop les nerfs, c'est du vol ! Je suis bien contente de partir et de vous donner 0 impôt, vous m'avez bien dépouillée avant de partir", écrit-elle ensuite.
"Mais à moi, ils m'ont mis 50 000 euros d'amende ! Mais si c'est pas de la hagra ça mes poupettes ! J'ai trop les nerfs, je suis trop dégoûtée. Le pire, c'est que c'est une amende que tu es obligée de payer sinon tu vas en prison. C'est une amende de l'Etat, du procureur, tu es jugée pour ça, c'est une transaction judiciaire. J'ai trop les nerfs là", insiste-t-elle encore.
Et oui, malheureusement pour Poupette, même en partant vivre à Dubaï, elle n'échappe pas à la justice française.