Est-ce que l'octogone entre Booba et Kaaris ne sera qu'une chimère ? C'est la question que les internautes commencent à se poser depuis que ce combat ne cesse de changer de lieu et de date. L'interprète de "OKLM" a refusé le contrat de son ennemi, avec qui il s'était battu à l'aéroport d'Orly. Dans sa story Instagram, le rappeur a en effet demandé à ce que l'organisateur soit "titulaire d'une licence d'entrepreneur de spectacles", contrairement à celui choisi.
Et ce n'est pas tout, loin de là. Si Kaaris avait affirmé que le fight se passerait en Tunisie, pour Booba, "il est hors de question que le combat se déroule à Tunis et/ou que l'organisateur puisse modifier unilatéralement le lieu du spectacle (idem pour la date qui doit être arrêtée d'un commun accord)". Ce ne sera donc pas dans le pays du Maghreb et le mois de juin ne serait pas non plus forcément la bonne date. B2O a spécifié que "le match doit avoir lieu en Belgique, Suisse ou Luxembourg", afin de "permettre aux fans d'y assister" plus facilement.
Dans le même message, le père de famille a souligné : "Booba ne cède aucun droit", ce qui fait que "son image / pseudonyme / nom / prestation ne peuvent être exploités qu'avec son accord préalable et écrit et sous réserve d'un accord financier". Eh oui parce que la bagarre qui sera encadrée ne sera pas qu'une histoire de violence, mais aussi une histoire d'argent.
L'artiste des Hauts-de-Seine a ainsi expliqué que le "prix des places" et la "captation", s'il y en a une, devront être discutés en amont et convenir aux deux parties avant la signature. Booba qui avait lancé qu'il voulait un "grec" en cas de victoire, alors que Kaaris souhaiterait une grosse somme d'argent, a également évoqué la clause du sandwich, demandant si cela peut paraître "injurieux" ou pas.