Le harcèlement scolaire, EnjoyPhoenix ne connaît que trop bien. La demoiselle en a fait la mauvaise expérience. Il y a 4 ans, alors qu'elle n'était encore qu'une jeune lycéenne de 16 ans, la célèbre YouTubeuse beauté et mode est en effet devenue le bouc émissaire de certains de ses camarades de classe, comme elle l'a notamment expliqué dans son livre "EnjoyMarie", disponible en librairies depuis mai dernier. Une expérience douloureuse que la petite-amie de WaRTeK a encore beaucoup de mal à raconter aujourd'hui. La candidate de Danse avec les stars 6 a néanmoins trouvé la force de revenir sur tout cela dans l'émission Toute une histoire sur France 2.
"J'étais en seconde. Tout se passait plutôt bien au début de l'année. Mais au bout d'un moment, il y a eu une rupture avec ces filles qui avaient potentiellement plus d'argent que moi et qui le démontraient beaucoup dans leur façon de s'habiller, dans leur façon d'être. (...) Elles ont décidé de me prendre comme bouc émissaire, elles m'ont fait me sentir mal", s'est elle rappelé avec émotion. Et d'ajouter plus en détails : "Dans les couloirs, en cours, on me jetait des choses de l'autre bout de la classe (...) Quand je rentrais chez moi, c'était pire. Les textos, les réseaux sociaux, on venait sonner en bas de chez moi, on appelait mes frères et soeurs pour continuer tout le temps."
>> EnjoyPhoenix : prise de grosse tête depuis DALS ? "Ca me fait chier. C'est tellement faux"
La demoiselle n'a d'ailleurs toujours pas tourner la page. "Je n'ai pas de vrais amis, je dois en avoir une et c'est bien assez. J'ai un petit problème avec moi-même, je ne le dis pas très souvent, je n'ai absolument pas confiance en moi, pas du tout. " Et ses plus d'1.5 million d'abonnés n'ont rien changé à son mal-être. "Ce n'est pas parce que j'ai du monde qui vient me voir et qui me dit 'je t'aime' toute la journée que je me sens pour autant mieux dans mon corps et dans ma peau (...) Je suis une fille très solitaire et je ne fais confiance à absolument personne. Je ne veux plus me faire des amis. J'ai eu trop trop mal...", conclut-elle. Nul doute que certains se retrouveront dans son témoignage.