Frenchie Shore. Deux mots qui sont sur toutes les lèvres depuis le lancement de ce nouveau programme, d'abord diffusé sur MTV et disponible dans la foulée sur Paramount+ depuis ce dimanche 12 novembre. Il faut dire que cette émission de télé-réalité mise sur l'ultra-trash et ne fait pas les choses à moitié : sexe, alcool, clashs... Autant d'éléments que l'on peut retrouver dans ce show, qui fait d'ores et office de truc le plus trash sorti depuis un bout de temps.
Et à en juger par les réactions des internautes sur le réseau social X, anciennement nommé Twitter, les spectateurs semblent répondre présent, entre autodérision et dégoût le plus total. Parmi les candidats, une certaine Kara fait notamment parler d'elle pour ses déclarations et son attitude pour le moins explicites. Bref, on vous passe les détails. Mais les plus curieux ont également fait quelques recherches et découvert que Kara était il y a encore peu de temps... rappeuse ! Et pas juste l'artiste du coin de la rue puisqu'elle avait notamment intégré le prestigieux roster de la maison de disques Believe, à en juger par plusieurs de ses clips.
Il faut dire que ce n'était pas forcément compliqué à trouver puisque son nom de scène n'est autre... que son prénom. Ainsi, on peut constater que Kara a quand même joui d'un certain succès. Ainsi, elle a huit clips en ligne sur sa chaîne YouTube, dont les dates de mise en ligne s'étalent de mars 2019 à juin 2021. On peut notamment citer DSL qui dépasse les 438.000 vues.
Si on jette un coup d'oeil sur la plateforme de streaming suédoise Spotify, on peut remarquer que son seul titre à avoir un peu décollé est Après minuit avec presque 70.000 écoutes. Pour le reste, c'est bien compliqué et la plupart des morceaux ont rejoint la longue liste des chansons qui ne sont absolument jamais streamées. Et pourtant, bien que sa proposition musicale ne soit pas la plus originale du monde, le résultat n'est pas aussi catastrophique que ce l'on pouvait imaginer. Ironie de l'histoire, on peut remarquer qu'elle avait sorti un morceau baptisé... Netflix. Pas loin d'être prémonitoire.