Encore un buzz foiré pour Jennifer Lopez. A la télévision anglaise récemment, sa tenue ultra sexy avait choqué tout le pays. Cette fois, J Lo a carrément réussi à outrer toute la communauté internationale après avoir accepté de donner un concert privé en l'honneur du Président du Turkménistan, Gourbangouly Berdymoukhamedov. Et le fait d'être la première star occidentale à se produire dans cette ex-république soviétique d'Asie centrale ne lui a même pas mis la puce à l'oreille.
Et pourtant, Jennifer Lopez s'est tremoussée samedi soir en robe traditionnelle devant un Président plus que contesté et contestable. Human Rights Watch décrit le Turkménistan comme "l'un des régimes les plus répressifs du monde", une dictature où la liberté de la presse est plus que réduite et l'accès à internet fortement contrôlé. Une petite Corée du Nord en somme. Mais l'ennemie de Mariah Carey n'était, à en croire son staff, pas au courant.
Sentant la polémique gonfler, le porte-parole de la chanteuse de Live it up a expliqué à E!News : "L'événement a été validé par ses représentants, si elle avait eu connaissance de problèmes liés aux droits de l'homme quels qu'ils soient, Jennifer n'y aurait pas participé". Et d'ajouter que ce "n'était en aucun cas un événement sponsorisé par le gouvernement ou de nature politique". On imagine par contre qu'elle a bien eu connaissance du cachet offert par les organisateurs de ce concert un peu particulier.