Laëtitia Provenchère fait partie des mamans dans Familles nombreuses, la vie en XXL sur TF1. Elle est maman d'une tribu de 4 enfants (un fils Nolann, et des triplées Emmy, Lyna et Noëlya). Son mari Guillaume est décédé quand elle était enceinte de ses 3 petites filles. La veuve s'est confiée sur la mort de son époux dans le podcast Le Tourbillon.
"Je suis à 2 mois de grossesse pile, le jour de son décès, donc le 10 août" a expliqué Laëtitia Provenchère qui était donc enceinte et en deuil, "En fait, Guillaume a fait une chute 2 jours auparavant. Une chute lors d'une intervention. (...) Malheureusement, il est tombé sur la tête. (...) Il a subi 2 interventions et au bout des 2 jours d'hospitalisation, on nous a dit que malheureusement il n'y avait pas d'espoir possible".
Celle dont vous pouvez suivre le quotidien dans Familles nombreuses, la vie en XXL a précisé que c'est elle qui a dû prendre cette décision difficile : "Comme on était mariés, je dois moi en tant que femme donner mon accord pour débrancher mon mari. C'est quelque chose que j'ai fait accompagnée de mes belles-soeurs et de ma belle-mère".
Laëtitia Provenchère a aussi eu la lourde responsabilité d'annoncer le décès de son mari à son fils, Nolann. "Papa, il a eu un très gros bobo à la tête, il est mort" a-t-elle confié, "Je sais c'est des mots qui peuvent heurter, mais il avait besoin de l'entendre et aujourd'hui il est très conscient des choses". "Je comprends que ça puisse heurter puisqu'en fait on n'a pas envie à 3 ans d'expliquer la mort à nos enfants. Mais nous malheureusement, ça fait partie de nos vies" a-t-elle précisé.
"En revenant des vacances de la Toussaint, la maîtresse m'a signalé que Nolann parlait beaucoup de son papa. En fait, au début de l'année scolaire, c'était beaucoup aux adultes. Il peut très bien dire : 'Bonjour, moi tu sais, mon papa il est mort'. Pour lui, c'est son schéma" a aussi indiqué la maman, qui a fait appel à une pédopsychiatre pour aider Nolan à gérer son deuil : "J'ai été très fière de lui, déjà, parce qu'il est épatant. Il a très bien compris les choses et, aujourd'hui, il en parle en toute simplicité et c'est ce que je voulais. Je ne voulais pas de tabou".