Décidément, Maeva Ghennam n'a pas fini d'avoir des problèmes. Quelques jours après avoir appris à ses fans qu'elle avait avalé de la javel par inadvertance, elle leur révèle avoir été arnaquée lors de l'achat de sa maison. Celle qui se plaignait des semaines plus tôt de la taille de sa maison (elle serait trop grande pour elle) risque bien de ne pas pouvoir vivre dans celle qu'elle a financée.
En story Snapchat, la candidate de télé-réalité a raconté, en pleurs, avoir découvert que son promoteur a tenté de l'arnaquer. "Je ne suis pas bien, je vais mourir, je suis en larmes. Il m'arrive une dinguerie ! Je me suis fait voler, je crois ! J'ai trop peur. Mon architecte m'aide. J'espère que je vais régler ce problème. Je vous jure, je vais faire un malaise", commence-t-elle.
Posée dans sa voiture, elle raconte sa toute dernière mésaventure à ses fans. "Écoutez bien ce qu'il m'arrive. J'ai acheté une maison il y a plus d'un an. Elle n'était pas encore construite, ce n'était que des briques. Je vais voir le promoteur pour lui dire que je veux acheter la maison. Il me dit : 'Ok, mais il faut faire une avance, un déposit.' Je lui donne 500 000 euros et il me donne le papier. Il me dit que la maison est finie dans un mois. Au bout de quatre mois, ça n'avance pas. Alors, je m'embrouille avec lui ! Il me fait galérer, puis finit la maison huit mois plus tard...", raconte-t-elle.
La candidate qui s'est illustrée dans Les Cinquante poursuit en expliquant que le promoteur avait augmenté le prix de la maison au moment de la signature avec le notaire. Seulement, elle vient de réaliser qu'elle n'est pas propriétaire de la maison.
Toujours sur Snapchat, Maeva révèle alors que le promoteur l'a arnaquée en lui faisant acheter le terrain, mais pas la maison. "Je pète un câble ! J'ai signé des papiers sans comprendre parce que je ne parle pas un mot d'anglais. Alors, je fais la pigeonne et je paye en plus ! J'ai payé la maison beaucoup plus chère que ce que je devais... Quand j'engage l'architecte pour faire les travaux, il me demande les papiers de la maison, car, pour commencer, il faut des autorisations. Il m'apprend que le promoteur n'a pas mis les papiers à mon nom. Pour Dubaï, je suis propriétaire du terrain, mais pas de la maison ! Elle ne m'appartient pas !", dit-elle.
Mais la jeune femme ne compte pas laisser le promoteur profiter d'elle. Pour l'instant, elle fait confiance à son architecte qui semble vouloir l'aider à récupérer la maison. Mais s'il n'y arrive pas, Maeva Ghennam compte bien prouver qu'elle s'est fait arnaquer pour pouvoir porter plainte et laisser la justice gérer ce problème.