Nabilla soit on l'aime, soit on la déteste. Alors cette semaine, les hebdomadaires prennent au choix l'un ou l'autre des partis. Après une interview dans Elle et une invitation en grandes pompes au Grand Journal de Canal+, la bimbo des Anges de la télé-réalité 5 a droit 6 pages dans le légendaire Paris Match. Le magazine dresse un portrait élogieux de l'auteure du "Non mais allo" qu'il décrit comme "la nouvelle muse de Jean-Paul Gaultier bien décidée à exister".
En plus d'un shooting photo façon fille sage et distinguée, Nabilla se livre dans une interview bien huilée. Finie le personnage de bimbo à la poitrine demesurée, la suissesse se décrit comme "une petite fille coincée dans un corps de femme". Finies aussi les comparaisons à Kim Kardashian et d'autres, la chérie de Thomas est juste elle-même. Finie enfin la femme insensible aux critiques, elle confie se sentir "comme dans un tribunal" face aux médias et "soumise au jugements des Français".
Pourtant la nouvelle image de femme innocente a encore un peu de mal à s'imposer. Sur la toile, Nabilla suscite la colère de fans lorsqu'elle pose deux lapins à des discothèques. Et d'étranges histoires de son passé continuent de faire des remous. Le 12 avril dernier, LePoint.fr affirmait que Nabilla avait fait de la taule, une information aussitôt démentie par l'intéressée.
Mais dans son numéro du 25 avril 2013, le magazine VSD affirme détenir des preuves de son passage par la case prison. Le journal publie par exemple des images de vidéo-surveillance visionnées par la police dans cette affaire où l'on reconnait Nabilla. Une chose est sûre, on n'a pas fini d'entendre parler de Nabilla Benattia. En bien, ou en mal.