Nicolas Bedos : gros coup de gueule après une plainte pour racisme
Publié le 9 janvier 2013 à 16:13
Par Charlotte Vaccaro
Le style de Nicolas Bedos ne plaît pas à tout le monde. Le fils de Guy Bedos est en effet dans le collimateur de CollectifDom. L'assocation a porté plainte pour "injures publiques raciales" contre l'humoriste suite à des chroniques publiées dans le magazine Marianne. Ce matin sur France Info et quelques jours plus tôt
Nicolas Bedos est accusé de racisme Nicolas Bedos est accusé de racisme© Abaca
Nicolas Bedos, trop provoc' au goût de certains
Nicolas Bedos n'a pas la cote auprès de tout le monde
Nicolas Bedos, incompris ?
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Le style de Nicolas Bedos ne plaît pas à tout le monde. Le fils de Guy Bedos est en effet dans le collimateur de CollectifDom. L'assocation a porté plainte pour "injures publiques raciales" contre l'humoriste suite à des chroniques publiées dans le magazine Marianne. Ce matin sur France Info et quelques jours plus tôt sur Twitter, le roi du buzz et de la provoc' s'est défendu d'être raciste et a poussé un gros coup de gueule.

Il n'y a pas que les blagues de Jamel Debbouze sur les "moches de Montbéliard" qui font un bad buzz. Connu pour éviter le politiquement correct, Nicolas Bedos est au coeur d'une polémique à cause de deux papiers publiés cet hiver dans Marianne. Des chroniques qui reviennent sur ses vacances aux Antilles et dans lesquelles figurent des expressions comme "enculé de nègre" ou encore "autochtones oisifs".

Mais la plume du festival de Cannes 2011 n'est pas prêt à s'excuser. Visé par une plainte de CollectifDom, Nicolas Bedos est même plutôt énervé par cette histoire. Joint au téléphone par France Info, il a expliqué que l'une de ses chroniques visées par la plainte était "une satire du touriste gros con facho". Et d'ajouter que les expressions qui sont au coeur de la plainte "sont justement mises dans la bouche de personnages" dont il fait "la critique".

L'acteur et metteur en scène, qui juge "difficile de se défendre face à des imbéciles", a également réglé ses comptes sur Twitter. Début janvier, il a notamment tweeté : "En faisant de mes blagues un problème majeur, les pseudos-associations outrancièrement procédurières font d'un problème majeur une blague". Vous l'aurez compris, Nicolas Bedos est pour le moins sur les nerfs.

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