Touche pas à mon poste - l'émission phare sur D8 animée par le trublion du PAF Cyril Hanouna - a repris ses quartiers pour une rentrée explosive sur la chaîne. Lundi dernier, toute l'équipe a vu les choses en grand avec un flashmob au son de Crazy in love de Beyoncé. Mais l'évènement ne s'est pas arrêté là puisque l'animateur a débarqué chez TF1 habillé en pompier. Et avec la présence de Philippe Lucas dans la bande, la bonne humeur et les premières punchlines ont débarqué sur le plateau. Du lourd.
Mais hier, c'est la journaliste Isabelle Morini-Bosc qui a mis le feu au programme, enfin surtout sur Twitter. Celle qui avait participé à une saison de Pekin Express ne sort jamais sans son décolleté plongeant, qu'elle affiche à chacune de ses apparitions. Et la chroniqueuse a mis le paquet sur le plateau, provoquant l'hilarité mais surtout l'incompréhension des internautes qui ont lâché leurs commentaires sur le réseau social :
@0RomyRose0 : Elle s'est emballée la Isabelle morini bosc! #onaime !!
@FlorelleManda : Isabelle Morini Bosc, elle aussi a fait pété le décolleté ce soir
@CarolineJimnz : Dites à Isabelle Morini Bosc qu'il faut arrêter les décolletés quand on a des gants de toilette #TPMP
@Gaelletique : Y a un moment donné on veut pas du tout voir les nichons d'Isabelle Morini-Bosc nous. Merci de faire passer l'info pour de bon ! #TPMP
@FongPus : On va finir par voir les tétés d'Isabelle Morini-Bosc #TPMP
@SkyDream45 : Le décolleté de Isabelle Morini Bosc est quand même sacrément dégueulasse. #TPMP
@Audrey___B : #TPMP Un mouvement un peu brusque et on va voir un sein d'Isabelle Morini Bosc sortir... Pas très classe la tenue...
@ChrisDevesa : Le décolleté d'Isabelle Morini-Bosc est... gênant #tpmp
@_Melanissime : Isabelle Morini-Bosc faut qu'elle arrête les décolletés, à son âge, ça fait quand même dégueulasse quoi. #TPMP
@Charles_D_113 : @TPMPofficiel Isabelle Morini Bosc faut qu'elle arrête avec ses décolleté plongeant, perso sa me dégoute ...
Va-t-elle envisager de revoir sa garde-robe ? Nous, on te soutient Isa, vive les décolletés !