En ce début d'année 2023, Aya Nakamura confirme son statut de phénomène. La chanteuse, révélée avec la chanson Djadja en 2018, a réalisé une prouesse à l'approche de la sortie de son quatrième album.
Aya Nakamura a annoncé qu'elle se produirait sur la scène de l'Accor Arena de Paris pour deux concerts. Une salle dans laquelle elle ne s'était pas encore illustrée. L'engouement de ses fans a été immédiat. En seulement trois heures, toutes les places ont été vendues. La production s'est résolue à ajouter une troisième date, qui se jouera également à guichets fermés.
Dans un entretien accordé à Canapé 6 places, le podcast de Léna Situations, Aya Nakamura s'est livrée sur son parcours. La chanteuse, dont le nouvel album "DNK" sera disponible dès ce vendredi 27 janvier, a accepté de se confier sur les conséquences de son ascension fulgurante sur la scène musicale.
Aya Nakamura s'est rapidement faite à l'idée de ne pas pouvoir plaire à tout le monde. Et dès le succès de Djadja, elle a été confrontée à de violentes critiques et attaques sur les réseaux sociaux. "Quand j'ai commencé à être connue, j'ai eu des commentaires de comptes fake, eux, ils lâchent tout ce qu'ils ont dans leur ventre...", a-t-elle déploré.
Celle qui s'est séparée de son compagnon a eu du mal à accepter les critiques émises contre sa musique. "Je me disais 'mais d'où vous vous permettez de dire que mes sons, ce sont des top lines ? Vous étiez avec moi quand j'ai travaillé, quand j'étais en studio pendant des heures ?'. Après bon, je regarde mon compte en banque, je me dis 'Ca va'", a-t-elle précisé.
Aya Nakamura, qui a agité la toile à coups de messages coquins sur Twitter, a estimé que la meilleure attitude était de prendre du recul face aux critiques et d'y apporter une réponse cash. "Il faut être bien entouré aussi. Il faut surtout déjà se dire 'C'est bon, tu sais quoi, c'est la vie. C'est la célébrité, il y a toujours des gens qui vont parler'...", a-t-elle conclu.