Fière de ses origines, Amandine Pellissard n'hésite jamais à les mettre en avant dès qu'elle le peut. En octobre 2022, elle avait notamment profité d'un post Instagram pour déclarer, "Mes origines sont mes racines et celles de mes enfants. Je suis reconnaissante envers mes parents de m'avoir transmis cette richesse", avant de préciser, "Mon papa est kabyle et m'a transmis ses yeux bleus, ma maman franco/italienne m'as transmis ce caractère explosif".
Puis, en janvier dernier, à l'occasion d'un énième clash sur le plateau de Touche pas à mon poste cette fois, elle n'avait pas hésité à lâcher, "Non mais moi je suis Algérienne, je suis une sanguine, donc je peux pas...", afin d'expliquer la raison de son incapacité à se calmer à la suite de certains propos de Raymond qu'elle estimait scandaleux.
Malheureusement pour la compagne d'Alexandre, cette mise en avant régulière de ses origines ne semble pas faire plaisir à tout le monde. A en croire l'une de ses stories Instagram publiée ce dimanche 12 février, l'ex-candidate de Familles nombreuses, la vie en XXL recevrait au quotidien des insultes et menaces de la part d'internautes anonymes, notamment liées à sa nouvelle carrière dans le porno.
"Espèce de grosse p*te, t'es pas kabyle, tu viens du tchoinistan" peut-on notamment lire, tout comme "T'es une honte de l'humanité, ne nous assimile pas à toi sale énergumène endiablé" ou encore, "Fais la p*te autant que tu veux, mais dis plus jamais que t'es Algérienne ou Kabyle sale mulâtre de m*rde. Ca va te faire un boulot à Ales, tu vas rien comprendre". Vous avez perdu quelques points de QI en lisant ces lignes ? C'est tristement normal.
Des attaques récurrentes honteuses qui pointent à nouveau la toxicité des réseaux sociaux, qui ont fini par énerver Amandine Pellissard. Au détour d'une story publiée sur Instagram, la mère de famille - habituée aux critiques depuis ses débuts sur TF1, a confessé avoir été scandalisée par de tels propos : "De mieux en mieux... Il y a vraiment des malades".
Puis, bien décidée à ne surtout pas leur laisser l'occasion d'avoir le dernier mot, elle a tenu à assurer que, peu importe leur virulence, elle ne se laissera jamais abattre par de telles remarques. "Je suis qui je suis, a-t-elle écrit. Par contre, menacer une femme... Vous êtes des m*rdes. Je supprimerai rien du tout. On est en France ici et on est libre".
Le message est passé, mais les chances pour qu'il soit entendu restent faibles...