

Déjà accusé par le passé de plagiat au moment de sa biographie sur Hemingway, PPDA voit aujourd'hui son ex Agathe Borne le traîner devant la 17e chambre civile du Tribunal de Grande Instance de Paris pour atteinte à la vie privée et contrefaçon. Dans son livre Fragments d'une femme perdue, l'ex de Claire Chazal aurait – selon Agathe Borne - révélé sa vie privée mais aussi utilisé des lettres personnelles. L'opposition de l'ex couple sur Purefans News by Adobuzz.
Hier, mercredi 8 juin, la 17e chambre civile du Tribunal de Grande Instance de Paris se penchait sur le cas de PPDA, accusé par son ex Agathe Borne d'atteinte à la vie privée et contrefaçon. Pourtant, aucun des deux principaux intéressés n'étaient présents lors de l'audience.
Leurs avocats, eux, étaient bien de la partie. Surtout Nathalie Dubois, avocate de la plaignante, qui a tapé fort. La femme de loi réclame ainsi 150 000 euros de dommages et intérêts à l'ex roi du JT de TF1 suite à la parution en 2009 chez Grasset du livre Fragments d'une femme perdue.
Selon elle, PPDA aurait tout simplement utilisé son histoire avec Agathe Borne pour exprimer "une vengeance, d'une violence particulière et d'une rare perversité" relate lexpress.fr, qui raconte l'audience. Maitre Dubois aurait également ajouté que l'auteur aurait "décidé de punir Agathe Borne, qui est parfaitement reconnaissable et identifiable dans le personnage de Violette".
Lexpress.fr indique que l'avocate aurait également cité des passages du livre, dans lesquels PPDA dépeindrait le personnage censée être son ex comme une "tricheuse", une "courtisane", une "traînée", une "pute"...sans parler d'autres descriptions très intimes qui auraient également été évoquées.
Agathe Borne accuserait également PPDA de plagiat et aurait confié à son avocate avoir reconnu onze de ses lettres écrites à l'époque de sa relation avec le journaliste dans Fragments d'une femme perdue.
Le jugement devrait être prononcé le 7 septembre 2011.