Accusé de violences physiques et psychologiques par trois ex-compagnes, Stéphane Plaza semble en avoir marre de rester silencieux sur cette affaire. Quelques jours après avoir vu son avocate débarquer sur le plateau de TPMP pour faire une mise au point et assurer qu'il serait en réalité la victime d'un harcèlement constant par les femmes en question, l'animateur d'M6 a décidé de prendre à son tour la parole.
Bien évidemment, étant donné que des plaintes ont été déposées de chaque côté et que les enquêteurs démêlent actuellement le vrai du faux, l'agent immobilier ne s'est pas directement prononcé sur les accusations dont il fait l'objet et qu'il conteste. Néanmoins, au détour d'un post Instagram, il s'est laissé aller à quelques confidences pour partager son état d'esprit auprès de sa communauté.
Aussi, en plus de mettre en ligne la photo d'un trèfle à quatre feuilles, le présentateur de Maison à vendre a écrit en légende : "Les circonstances de la vie nous apprennent à devenir attentif au moindre signe qui se présente à nous. Parfois ces signes sont connotés de sens et sont limpides. D'autres peuvent être abstraits, mais leur finalité est identique !" Et d'ajouter, "Ces signes nous aident à tenir bon et à garder espoir !"
Puis, comme pour faire entendre à ses fans qu'il n'a rien à se reprocher et qu'il a bon espoir de voir la situation rapidement tourner en sa faveur, Stéphane Plaza a par la suite déclaré : "Reste fort car les choses vont s'arranger. Le temps est peut-être orageux, mais il ne peut pas pleuvoir pour toujours..."
Un post auquel les internautes ne peuvent pas réagir (probablement pour permettre à l'animateur de se protéger vis-à-vis des réactions), mais qui suit d'autres publications tout aussi vagues et mystérieuses. Le 16 novembre dernier, il écrivait "La vérité sera mon arc-en-ciel" accompagné d'une vidéo d'un arc-à-en-ciel au-dessus de la mer, tandis que le 29 novembre, il partageait la citation suivante : "À l'obscurité de la nuit succède la clarté du jour et les larmes de tristesse redeviennent des larmes de joie".