Le procès opposant Johnny Depp et Amber Heard, qui a débuté le 11 avril dernier, est plein de rebondissements. L'acteur a attaqué son ex-femme en diffamation suite à un article paru dans le Washington Post, dans lequel elle affirmait avoir été victime de violences conjugales et d'agressions sexuelles. Ces accusations ont détruit la réputation de l'ex de Vanessa Paradis. Il a d'ailleurs été renvoyé de Disney et de la saga de films Les animaux fantastiques. Depuis le début du jugement, Johnny est très soutenu sur la toile et beaucoup doutent de la sincérité de son ancienne femme.
Pourtant, d'après Dawn Hughes, psychologue clinicienne et médico-légale entendue lors du procès, Johnny Depp aurait fait preuve d'une "obsession de contrôle" et de "jalousie obsessionnelle" tout au long de sa relation avec Amber Heard. Elle a aussi assuré aux jurés avoir fait un "diagnostic définitif" et que l'actrice souffrirait de stress post-traumatique. Le docteur Hughes a également déclaré qu'Amber Heard a évoqué des "comportements de violences physiques" et "des actes de violences sexuelles".
Après quatre tests avec celle qui est visée par une pétition pour être virée d'Aquaman 2, elle affirme que cela vient d'un acte de "violence de son partenaire dans cette relation". "Il l'a poussée, bousculée, giflée avec le dos et la paume de la main. Il l'a étranglée, l'a repoussée contre une paroi, l'a poussée et elle est tombée. Il l'a frappée à coups de pied dans le dos" a-t-elle raconté.
Une version qui tranche avec la précédente, donnée par une autre experte en psychologie, Shannon Curry, qui affirmait pour sa part qu'Amber Heard souffrirait de troubles de la personnalité et qu'elle avait "grossièrement exagéré" les symptômes de troubles de stress post-traumatiques dont elle disait souffrir.
Le procès se poursuit encore cette semaine. Après le "cacagate" et l'affaire du pénis, les rebondissements semblent loin d'être finis.