Karim Benzema, qui avait été mis en examen pour "complicité de tentative de chantage et participation à une association de malfaiteurs" mais dont le contrôle judiciaire a été "partiellement levé" a été taclé par Patrice Quarteron. Le Rônin sombre comme il est surnommé, a en effet (encore) réglé ses comptes avec Karim Benzema. Dans une vidéo postée sur Youtube, Patrice Quarteron lui balance : "Toi qui n'as pas marqué pendant plus de 1122 minutes, toi qui n'a pas marqué entre 2012 et 2013, (...) que Deschamps a soutenu contre vents et marées... C'est de la discrimination positive ? On va appeler ça comme ça. Moi-même je t'ai défendu quand il y a eu l'affaire Zahia quand t'allais pécho la mineure".
Et "toi tu viens nous sortir ton baratin, tu viens nous sortir la carte communautariste ? (...) T'es un traître jusqu'au bout toi. Le seul mec que t'as soutenu, c'est celui pour aller carotter ton pote, ton soi-disant pote" a fini par déclaré Patrice Quarteron au footballeur. Très rémonté contre Karim Benzema, qui a taclé Mathieu Valbuena et Didier Deschamps avant l'Euro 2016, Patrice Quarteron a même ajouté : "Vu que t'es un mec qui veut jouer, regarde Bein Sport le 14 juin". A cette date-là, le champion du monde de Muay Thai sera invité dans l'émission Nespresso et devrait encore clasher la star du ballon qui est aussi la célébrité française la plus suivie sur Instagram.
Interrogé en décembre par SoFoot, Patrice Quarteron avait déjà taclé l'attaquant du Real Madrid en déclarant : "Benzema, je l'aime pas, c'est un hypocrite (...) Je comprends même pas qu'il soit en équipe de France, ce mec-là. Il se la joue, mais c'est un petit bourgeois. Il a je sais pas combien d'oseille, il vient faire la petite frappe, le gangster à deux francs". Voilà qui est dit...
Karim Benzema a-t-il répondu au dernier clash ? Il semblerait. Le joueur de foot privé d'Euro 2016 et défendu par Booba, qui relançait les accusations de racisme, a posté un message sur Instagram : "Je n'ai pas à être celui que vous voulez que je sois. Aimez-moi ou détestez-moi, je suis toujours #KB9". A bon entendeur...