Les jours se suivent et se ressemblent dans le petit monde de Plus belle la vie. En effet, c'est un nouveau drame qui sera prochainement mis en scène à l'écran et qui fera trembler le Mistral. D'après les informations de pblv-plusbellelavie, les scénaristes de la fiction quotidienne aborderont ainsi le sujet des violences sexuelles.
Tout commencera par une histoire aussi absurde que WTF. Décidée à récupérer son chèque d'indemnité de 250 000€, Luna va organiser un casse au sein de la banque du Crédit Provençal. Et à cette occasion, elle sera aidée d'Alison, qui aura un rôle crucial dans l'opération. Le site le dévoile : "La soeur de Mila va se rapprocher d'un certain Fabio qui assure la surveillance de l'établissement via un système de caméras à distance. Elle va le draguer dans le but d'obtenir des confidences sur son travail et va ensuite se charger de trouver les codes de sa tablette pour désactiver la vidéo."
Malheureusement pour Alison, cette opération séduction va tourner au cauchemar quand Fabio, lassé de se faire manipuler / envoyé balader par la pote d'Abdel, va "s'énerver" face à son comportement. Ainsi, frustré de ne pas obtenir ce qu'il souhaite, l'agent de surveillance va décider de "la violer". Et vous vous en doutez, cette tragédie ne sera pas sans conséquences : "La jeune femme sortira traumatisée de cette histoire. Elle n'osera pas avouer à Abdel ce qu'elle a subi. Le fils de Karim s'en doutera et vivra mal le fait de ne pas avoir su la protéger... Par la suite, Alison se confiera à Mirta et fondra en larmes dans ses bras."
Difficile de savoir ce que les auteurs prévoient pour la suite, mais on peut néanmoins espérer une histoire forte à l'écran, comme cela a récemment été le cas avec la gestion du coming-out ou de la transidentité. En France, 62 000 femmes ont été victimes d'un viol et/ou d'une tentative de viol, et 580 000 femmes ont subi au moins une agression sexuelle en 2015. Autrement dit, il s'agit là d'un véritable sujet de société qui mérite d'être exploré de façon juste et intelligente afin de mettre des mots (et images) sur ces traumatismes.