Juste après Apolline Matin, où Apolline de Malherbe a balancé le nom de son pire invité politique, RMC et RMC Story ont proposé une nouvelle édition des Grandes Gueules le jeudi 1er juin 2023 entre 9 heures et midi.
Pour décrypter les sujets qui agitaient l'actualité, Olivier Truchot et Alain Marschall ont été accompagnés par Etienne Liebig, Willy Schraen et Sarah Saldmann. Cette dernière n'a pas manqué d'être interrogée sur sa présence au Festival de Cannes. Et elle n'a pas hésité à balancer sur les coulisses de l'événement cinématographique.
Celle qui a provoqué les "écolos radicaux" en martelant qu'elle continuerait à prendre deux bains par jour s'est retrouvée "plusieurs fois de suite" sur le tapis rouge, mais cela n'a pas été sans difficultés. "Vous arrivez, vous avez un véhicule accrédité qui vous dépose devant. Il y a, à peu près, 200 mètres à marcher, avec une robe longue, c'est très dur... Ensuite, une fois qu'on part, il n'y a pas de véhicule sauf si on regarde tout le film...", a–t-elle détaillé. Ce à quoi Etienne Liebig a étonnement réagi : "Tu n'as pas pu te faire remplacer par un immigré ?".
"Tu repars laborieusement. Tu te fais appeler un agent de sécurité et c'est très, très laborieux... Puis, tu te changes pour aller à ton dîner parce que tu rends la robe que tu as peur d'abîmer...", a surenchéri Sarah Saldmann. Elle a ensuite demandé à Etienne Liebig s'il souhaitait faire la montée des marches. Et ça lui a valu une réponse cinglante de son collègue...
"Moi j'aimerais la faire si j'écris un scénario, pas pour me montrer... J'en ai rien à foutre !", a asséné le chroniqueur des Grandes Gueules. L'avocate a alors tenu à justifier sa présence au Festival de Cannes. "Ah mais moi, ce n'était pas pour me montrer ! Le premier jour, il y avait Nabilla à côté de moi. Comme on me surnomme la Nabilla du barreau, je me suis dit : 'C'est peut-être un signe... '. Deuxième jour, j'étais entre Carla Bruni et Carole Bouquet", a-t-elle précisé.