Karine Ferri : extrêmement émue, elle parle de ses envies de bébé et de bonheur

Alors que certains people passent leur temps à faire la une des différents magazines et participent activement au jeu des rumeurs, Karine Ferri est plus du genre à les esquiver. Et la raison à cela semble simple à comprendre : sa vie personnelle est un sujet (littéralement) sensible. Comme on peut le découvrir dans une interview vidéo de Yahoo réalisée par Alexandre Delpérier, le fait d'évoquer sa vie privée est capable de... la faire pleurer.

Interrogée sur sa vision du bonheur, elle avoue ainsi, les larmes aux yeux et les sanglots dans la gorge : "C'est partagé. C'est fort le bonheur. C'est fort de s'autoriser le bonheur, parfois c'est dur. Maintenant je me l'autorise. Parfois j'aimerais que le temps s'arrête, que ce moment de bonheur il dure toute la vie." Une confession faisant probablement référence à sa relation avec Grégory Lemarchal, prouvant que malgré les années, la blessure est toujours profonde.

Toutefois, comme elle l'avoue ensuite (et toujours avec émotion), elle peut compter sur sa famille pour retrouver le sourire. "La famille, c'est la base" explique-t-elle, avant de poursuivre : "Moi j'ai la chance, et c'est très important, d'avoir une famille formidable. Un frère avec qui j'ai partagé de merveilleux moments. C'est ma fierté. Ils sont ma fierté." Pas étonnant alors d'apprendre qu'à bientôt 33 ans, la star de TF1 pense à fonder sa propre famille : "C'est très important. J'ai une maman, qui est une maman poule. Donc oui, évidemment je me le souhaite [de devenir maman, ndlr]." Et à la question "combien d'enfants ?", la réponse est tout aussi simple : "Beaucoup".

Enfin, Karine Ferri a également profité de cet entretien pour se livrer sur son rapport avec ses fans et les réseaux sociaux. Et si la jeune femme s'avoue fière de son public : "Ces personnes me font beaucoup de bien. Quand ça va pas, y a toujours un petit mot. Les réseaux sociaux c'est bien pour ça. Y a une proximité", elle se montre distante avec l'utilisation que certaines personnes peuvent faire de Twitter ou Facebook : "Parfois y a des choses qui sont difficiles à lire, puis y a ceux qui déversent leur haine, gratuitement, sans raison. Ca aussi ça fait mal."