Clap de fin pour la saison 3 des Traîtres. Dès ce vendredi 27 septembre 2024, M6 dévoilera la finale de l'émission en première partie de soirée. Alors que les téléspectateurs sont impatients de savoir si les loyaux parviendront à démasquer les traîtres au sein de cette nouvelle édition, Gwendal Marimoutou a accordé une interview au Figaro quelques jours avant la diffusion. Le joueur encore en lice s'est confié sur les coulisses du tournage, particulièrement éprouvant pour les candidats.
Sur le plateau du Buzz TV, Gwendal Marimoutou reconnaît avoir beaucoup pleuré cette saison. Comme il l'explique, les candidats se prêtent très vite au jeu, et en deviennent presque obsédés : "On finit par rêver de cape rouge !" Si les joueurs sont autorisés à se parler rapidement lors des temps de pause, ces instants de répit sont très rares. "On est isolés, vraiment. Tout est fait pour qu'il n'y ait pas de triche. De manière crédule, je pensais au début, qu'après chaque fin de journée, on irait boire un verre et qu'on parlerait d'autre chose que du jeu. Mais pas du tout !"
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De plus, dès que les caméras sont coupées, les participants sont scrutés par des assistants de production, chargés d'écouter leurs conversations. Si Gwendal Marimoutou reconnaît que ce soit "un peu gênant", il comprend leur approche : "On est un peu oppressés, mais au moins, on est dans le jeu. Il suffirait qu'on monte une stratégie sans être filmés, les téléspectateurs ne comprendraient pas."
Le soir, les candidats sont emmenés dans leur chambre. Ils mangent seuls et ne sont pas autorisés à parler les uns avec les autres. "Il y a deux chambres par étage avec deux nounous qui sont dans les couloirs et dans les chambres entre nous." Les loyaux et les traîtres ont toutefois accès à leur téléphone pour s'occuper avant de se coucher, mais les joueurs ont l'interdiction de s'écrire entre eux, précise Gwendal Marimoutou.