Alors que Pékin Express 2020 arrive bientôt sur M6, la chaîne a diffusé le premier épisode de Qui veut être mon associé ? ce mardi 14 janvier 2020. Et Sarah Da Silva Gomes a réussi à toucher les 5 associés. Dans l'émission animée par Julien Courbet, Marc Simoncini (fondateur de Meetic), Catherine Barba (fondatrice de Peps Lab), Marc Vanhove (fondateur de Bistro Régent), Delphine André (présidente de GCA Transport et Logistique) et Eric Larchevêque (président du conseil d'administration de Ledger) se sont en effet retrouvés au bord des larmes.
Dès son arrivée, Sarah a expliqué face aux associés du programme : "Souvent quand on parle de handicap, on parle d'accessibilité en général. Mais avant d'aller au musée ou au cinéma, on commence la journée par s'habiller". "Mon expérience personnelle m'a montré que l'habillage des personnes handicapées pouvait être très fastidieux" a-t-elle ajouté, elle dont le petit frère, Constant, âgé de 26 ans, est polyhandicapé depuis la naissance.
La candidate de Qui veut être mon associé ? a ainsi créé sa propre collection de prêt-à-porter Constant & Zoé, pour les personnes handicapées physiques et polyhandicapées. Un beau projet salué à l'unanimité par les pros (qui ont tous investi 50 000 euros chacun, ce qui permet de réaliser le souhait de Sarah qui espérait 200.000 euros contre 10% de son capital). Mais les twittos aussi ont été nombreux à féliciter la lyonnaise pour son engagement.
L'une des autres candidates qui a aussi beaucoup marqué l'émission, c'est Lucie. A 20 ans, elle est la plus jeune entrepreneuse à se présenter à Qui veut être mon associé ?. Son projet ? Les cartes de Lulu, des cartes postales en papier biodégradable, recyclé et rempli de petites graines. En y ajoutant un peu d'eau, les cartes poussent. Plutôt que de jeter la carte, elle vous servira donc de plante et ça fait un déchet de moins. Une initiative poétique et zéro déchet qui a même reçu le soutien de Julien Courbet. L'ex chroniqueur de TPMP a avoué avoir failli investir dans la société de la jeune femme.
"Moi, aussi j'ai eu un coup de coeur et j'ai bien failli mettre la main à la poche !" a-t-il avoué à Télé Loisirs, "Cette gamine d'à peine 20 ans a commencé à monter sa boîte alors qu'elle poursuivait ses études, vous vous rendez-compte ! D'abord son idée est géniale et complètement dans l'air du temps". "Je me suis dit si aucun investisseur ne l'aide, moi je le fais !" a ainsi ajouté Julien Courbet. Mais il n'a pas eu besoin de le faire, puisque Marc Simoncini a accepté de miser sur la candidate.