Julia Vignali déjà lassée par le concept d'Affaire Conclue ? L'animatrice sans langue de bois sur son nouveau travail

En septembre dernier, les téléspectateurs avaient le droit à une double surprise. Recrutée par Europe 1 pour y animer sa propre émission l'après-midi, Sophie Davant était contrainte de quitter le plateau d'Affaire Conclue. Un départ inattendu, qui avait alors motivé les dirigeants de France 2 à piocher du côté de Télématin pour y récupérer Julia Vignali et lui filer les commandes de ce programme de ventes aux enchères.

Un nouveau défi surprenant pour Julia Vignali qui connaissait un joli succès avec la matinale de la chaîne, mais qui l'excitait tout particulièrement. Invitée de France Info ce lundi 12 février 2024, l'animatrice a reconnu que ce job était difficile à refuser à l'époque.

"C'est une émission un peu comme toutes celles que j'incarnais jusqu'à présent, assez patrimoniale, c'est-à-dire une émission que tout le monde connaît, a-t-elle expliqué. J'ai été flattée qu'on vienne me chercher pour l'animer." Et aussi surprenant que cela puisse paraître, alors même que Sophie Davant semblait indéboulonnable, Julia Vignali apparaissait sereine au moment d'entamer cette aventure : "Je ne veux pas qu'on pense que j'ai un melon énorme, mais je n'étais pas très inquiète sur Affaire conclue parce que je trouve que la machine, le format, l'émission sont forts."

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Aujourd'hui, la présentatrice des après-midis de France 2 regrette-t-elle ce choix ? "Il faut s'intéresser au sujet, parce que si vous ne vous y intéressez pas, les journées sont longues", a-t-elle admis ce lundi. Et de confesser plus loin : "En toute honnêteté, je ne savais pas si j'étais intéressée par le sujet avant de faire".

Sans aucune langue de bois, Julia Vignali a déclaré qu'elle avait été, l'été dernier, plus attirée "par l'idée de prendre une émission qui cartonnait" mais aussi "d'être l'une des figures qui marchent l'après-midi sur France Télévisions", plutôt que par le concept. Une façon de penser qui aurait pu lui coûter cher, mais qui s'est finalement révélée payante.

Au fur et à mesure des tournages, la journaliste s'est effectivement laissée prendre au jeu, découvrant en quoi ce format pouvait totalement lui convenir : "J'ai déjà une passion pour l'histoire des objets. Les commissaires-priseurs vous racontent les petites histoires dans la grande, ça me passionne". Aussi, même si cette collaboration ne partait pas de la meilleure des manières, elle ne se voit désormais nulle par ailleurs : "J'y suis, j'y reste ! Je ne bouge plus !".

Que les autres animateurs/animatrices en quête de projets se rassurent, ils peuvent toujours garder leur CV à disposition pour TF1. La raison ? La chaîne pourrait potentiellement perdre Jean-Luc Reichmann d'ici le mois de juin, menaçant ainsi l'avenir des 12 Coups de midi...