A l'exception de son nouveau record sur Youtube, l'actualité de Rihanna était peu brillante ces dernières semaines. La chanteuse américaine a créé la polémique à plusieurs reprises, que ce soit avec sa consommation non-dissimulée de marijuana ou encore avec ses affiches dénudées, rhabillées en Irlande. Une attitude qui n'est pas du goût d'une journaliste du Daily Mail, qui l'a d'ailleurs fait savoir dans un article publié ce 24 juin.
Dans ce papier, la rédactrice anglaise dresse un portrait particulièrement critique de la reine de la Barbade, la qualifiant de "modèle toxique pour son armée de jeunes fans". Elle explique également que l'ex de Chris Brown aurait également modéré son comportement pendant un certain temps afin d'apparaître sur la couverture du magazine Vogue, ce qu'elle est parvenue à obtenir en octobre dernier. "Toutes ses qualités ne veulent rien dire quand on sait qu'elle est retournée dans les bras de son copain violent [...] et qu'elle promeut la consommation de drogue et d'alcool, ainsi qu'une mode vestimentaire qui appelle au viol sur scène" a-t-elle ajouté. Des propos intolérables pour Rihanna.
Dans un long message posté sur Instagram, la "BFF" de Cara Delevingne a tenu à répondre, de façon aussi virulente, à la journaliste. "Mon argent a la mauvaise habitude d'énerver les gens !! Si tu veux vraiment aider les petites filles bien mieux que leurs parents, voici un conseil toxique : ne sois pas si amateure dans tes articles, tu as l'air aigri. [...] Cette merde, ce n'est pas du journalisme !", commence-t-elle.
"Je ne prétends pas être parfaite comme toi, je vis juste ma vie. Et je ne comprends pas pourquoi tu es si surprise. 'Modèle', ce n'est pas une position ou un titre auquel j'ai postulé [...] J'ai mes propres problèmes et je ne me suis jamais décrite comme quelqu'un de parfaite. [...] Et pour ton information, ma première couverture pour Vogue était... en avril 2011 !", a-t-elle terminé. Vous l'aurez compris, il ne faut pas critiquer Rihanna au risque de se faire bousculer tout aussi violemment.