C'est l'info qui a inquiété tous les fans de Booba : une fusillade a éclaté sur le tournage du clip "Glaive" dans la nuit du 20 au 21 août 2019. Alors que l'équipe de B2O rangeait le matériel, une vingtaine de personnes a débarqué dans l'entrepôt désaffecté à Aulnay-sous-Bois, munie d'armes à feu, de battes de baseball et de barres de fer. Elles s'en sont alors violemment pris aux gens présents avant de tirer à quatre reprises : il y a eu trois blessés, dont le réalisateur Chris Macari et un technicien, qui vont bien aujourd'hui. Booba, lui, n'était pas présent au moment de la fusillade.
Une enquête a été ouverte par le parquet de Bobigny, mais qui peut bien être derrière cet acte violent ? "Ça peut être plein de gens. Ça peut être beaucoup d'ennemis. Pourtant, je suis gentil à la base. C'est le risque du métier", a confié le Duc de Boulogne dans une interview accordée à Brut. En attendant que la police découvre la vérité sur cette histoire, l'interprète de "Petite fille" vient de dévoiler le fameux clip de son morceau "Glaive" dans lequel il a utilisé la fusillade en guise d'introduction.
Booba nous emmène aussi dans la cité Pablo Picasso à Nanterre, où a aussi été tourné le film Neuilly sa mère, mais les internautes retiennent surtout les paroles cash adressées à ses ennemis Kaaris et Damso : "Tellement longtemps que j'fais la guerre / Le prochain c'est Damso, m'fais pas jurer la vie d'ma mère (...) Sept zéros sur les chèques, poto j'ai plus vingt ans. Vide la caisse et vite, salope, le changement, c'est maintenant. La paix n'tiendra pas longtemps si rate-pi n'fait pas son chiffre."