Certaines n'hésitent pas exhiber leur soutif. C'est le cas de Tiffany Bonvoisin, collègue de Cyril Hanouna sur Virgin Radio. D'autres en revanche ont plus de mal à afficher leur bonnet. Une vendeuse d'un magasin de lingerie suédois n'a pas du tout apprécié que son boss l'oblige à indiquer sa taille de soutien-gorge sur son badge.
Voilà une question qui aurait sans doute embarassé Nabilla il y a quelques années. Avant la case chirurgie esthétique, la starlette des Anges 5 était complexée par son decolleté, qu'elle rembourrait avec du coton. Si elle n'a désormais plus aucune honte à afficher ses soutifs parachutes, certaines n'ont pas forcément envie de voir leur taille de bonnet révélée au grand jour. Une vendeuse d'un magasin de lingerie suédois a pourtant du s'y plier, malgré ses protestations. Elle devait indiquer sur son badge prénom, tour de poitrine et profondeur du bonnet. Une démarche sexiste qui l'a poussé à porter plainte.
Selon la chaîne de magasins Change, cette initiative avait pour objectif de "signaler que nous avons un large choix et sommes désireux de proposer la bonne taille". Malgré ces explications, les Prud'hommes ont jugé l'obligation discriminatoire et humiliante. A cause de cette histoire de bonnets, Change devra débourser pas moins de 50 000 couronnes d'amende. "C'est une grande victoire pour l'intégrité des employés" se réjouit un des portes-paroles des employés du commerce. Pour être sûr de ne pas avoir à justifier sa taille de soutif, le mieux est sans doute de ne pas en porter, comme Emma Watson et Miley Cyrus qui les détestent. En plus, selon une récente étude, ils ne servent strictement à rien.