L'ambiance était électrique sur le plateau de Touche pas à mon poste ce mardi 4 mai 2021. Sous le coup d'une enquête pour viol à l'encontre d'une femme de 20 ans après lui avoir proposée de prendre de la lamaline, Juan Branco a profité de son invitation dans l'émission pour apporter sa version des faits et rétablir la vérité sur cette "drogue". Cependant, face aux critiques incessantes de Gilles Verdez sur l'utilisation de ce médicament, "Ca contient de l'opium, de la caféine et du paracétamol. Quand on l'absorbe ça peut rendre soit dépendant soit euphorique. (...) Ce n'est pas innocent, ça permet à quelqu'un de devenir vulnérable", l'avocat est parti au quart de tour.
Ainsi, après avoir précisé au sujet de la lamaline, "Vous savez ce que c'est de la lamaline ? Un cachet, c'est l'équivalent de deux codoliprane. (...) Vous ne pouvez pas ressentir d'effets quand vous prenez un cachet de codoliprane", Juan Branco a profité du rebond d'un Cyril Hanouna un peu perdu, "J'ai rien compris à ce délire", pour lâcher une petite bombe, "C'est peut-être parce qu'ici on prend des rails de coke sans difficulté, moi j'en n'ai jamais touché. Je touche jamais aux drogues dures".
Et forcément, cette accusation n'est pas passée auprès des membres de l'émission de C8. Alors que Gillez Verdez a plusieurs fois répété, "Non, c'est pas bien ça", Cyril Hanouna - qui a toujours critiqué l'utilisation de drogue, s'est énervé devant ces sous-entendus, "De qui vous parlez ?! Tu parles de moi ?!"
Une réaction qui a visiblement beaucoup amusé Juan Branco, "Pourquoi vous vous sentez visé ?", ce qui a par la suite lancé un dialogue de sourds entre les deux. Ainsi, là où Cyril Hanouna a affirmé, "Pourquoi tu parles comme ça ? De rails de coke ? Qui prend de la coke ? Jamais personne n'a pris de la coke ici !", l'avocat a immédiatement répliqué avec ironie, "Ah bon ? Personne ne prend des drogues dures dans le monde de la télévision ?"
Puis, devant l'insistance de son invité sur le sujet, l'animateur de TPMP s'est une nouvelle fois emporté en tentant de remettre les faits en avant, "La dernière fois, t'as dit n'importe quoi sur mon salaire. Là, il arrive. Il dit qu'on prend des rails de coke ! (...) C'est inadmissible ! Vous êtes sur le banc des accusés et vous accusez les autres !"
Une séquence aussi gênante que fatigante, à retrouver dans notre diaporama, qui n'a fait grandir personne. Vivement les vacances.