En signant Justin Bieber, Island Def Jam Records a assurément touché le gros lot grâce notamment au tube Baby, devenu en mai dernier le single ayant rapporté le plus d'argent dans l'histoire de la musique américaine. En contrepartie, le label a dû au fil des années apprendre à gérer les sautes d'humeur et les dérapages du chanteur, entre excès de vitesse, dégradation de biens publics ou encore flagrant délit de fumette pour n'en citer que quelques-uns. Et parfois, la maison de disques elle-même peut être directement prise pour cible par leur poulain, comme ce mardi 5 novembre.
Sur Twitter, l'artiste canadien a taclé son label, la qualifiant de "louche" et l'accusant de ne pas travailler assez. "J'aimerais que Def Jam travaille plus sur mes projets. Les maisons de disques sont louches" pouvait-on lire dans le message, retweeté près de 600 fois avant d'être supprimé par Justin Bieber qui n'a vraisemblablement pas assumé ses propos. "Les beliebers devraient travailler pour mon label", a-t-il écrit un peu plus tard, arrondissant au passage les angles de son idée première. Voilà une opinion qui va de nouveau provoquer la colère de ses patrons qui lui ont récemment demandé de se tenir à carreau.