Une semaine après la finale de Mask Singer, à l'issue de laquelle Vincent Niclo a expliqué pourquoi son identité avait été grillée depuis le début de la saison 5, TF1 dégainera un nouveau divertissement ce vendredi 9 juin 2023.
Dès 21h10, Arthur renouera avec le jeu en prenant les commandes de The Wheel. Un candidat anonyme s'y retrouvera placé au centre d'une roue en mouvement de 12 mètres de diamètre. Il devra répondre à des questions de culture générale. Pour remporter un maximum d'argent, il pourra compter sur le soutien de personnalités expertes dans leur domaine. Ce premier numéro sera porté par Caroline Anglade, Julie de Bona, Philippe Manoeuvre, Michel Sarran, Elie Semoun, Shy'm, Arnaud Tsamère, Clarisse Agbegnenou, Karima Charni et Alex Vizorek.
Dans un entretien accordé à PureMédias, Arthur s'est confié sur son nouveau défi. "Avec la chaîne, on cherchait un jeu qui puisse me redonner les sensations d'A prendre ou à laisser qui a été un programme qui a marqué ma carrière. Quand la direction de la Une m'a appelé pour me parler de The Wheel, j'ai regardé l'émission originale et ça a été une évidence pour moi", a-t-il expliqué, tout en précisant que The Wheel lui avait permis de "retourner un peu dans l'esprit one-man show" qu'il avait à l'époque d'A prendre ou à laisser.
L'animateur, qui a réclamé 9 millions d'euros à Cyril Hanouna pour "dénigrement", a assuré que les nostalgiques d'A prendre ou à laisser allaient adorer The Wheel. "Ce nouveau jeu a la modernité en plus et ce mélange entre les célébrités et les candidats anonymes. A la fin, certains artistes, Julie de Bona, Anne Roumanoff ou encore Caroline Margeridon, ont fini en pleurs. De joie hein. Un truc s'est passé, on a réussi à créer cette alchimie. J'ai moi-même offert des cadeaux aux perdants tellement on était tous tristes", a-t-il précisé.
>> Affaire conclue : Caroline Margeridon va-t-elle remplacer Sophie Davant ? Sa réponse cash <<
A l'inverse de Vendredi tout est permis, Arthur n'est pas le producteur de The Wheel. Il a été amené à collaborer avec Warnos Bros. International Television Production France. Et il a imposé un petit caprice à la société de production. L'animateur a exigé qu'un public de 100 personnes soit présent en plateau. "Je voulais que ce soit drôle, que les snipers entendent les rires du public quand ils font une vanne. C'est la seule version où il y a du public et ça a été une de mes demandes", a-t-il souligné.
"Ça a été notre point de crispation avec Warner... Ils voulaient mettre le public dans une autre pièce. Je leur ai trouvé de la place et ils ont dû trouver le budget. C'était l'avantage de ne pas être le producteur de l'émission (rires). Même aux Etats-Unis, en prime time, ils n'ont pas mis de public. Même à la BBC où ça cartonne, ils n'ont pas mis de public. Après, ils nous ont dit, 'si vous réussissez, on vous piquera sûrement l'idée", a conclu le présentateur de Vendredi tout est permis.