L'ascension de Gabriel Attal se poursuit. Après avoir été porte-parole du gouvernement et ministre des Comptes publics, le voilà promu au ministère de l'Education nationale. Il a succédé à Pap Ndiaye le jeudi 20 juillet 2023.
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Celui qui a fait halluciner Apolline de Malherbe sur BFMTV s'est invité au menu des Grandes Gueules ce vendredi 21 juillet sur RMC et RMC Story. Olivier Truchot a demandé à Sarah Saldmann, Mourad Boudjellal et Bruno Poncet de réagir au remaniement orchestré par Emmanuel Macron avec Elisabeth Borne.
Bruno Poncet a estimé que ce remaniement signait la fin de la carrière politique de Gabriel Attal. "On se retrouve encore avec des bras cassés qui arrivent, ça va être encore glorieux... Un truc qui me fait plaisir, c'est qu'on vient de signer la fin de la carrière politique de Gabriel Attal. Parce qu'à chaque fois que tu as un ministre de l'Education nationale, jamais derrière il fait une carrière. Ils se font tous défoncer ! Ça finit toujours mal pour eux !", a lâché celui qui a accusé Emmanuel Macron d'être un "mytho".
"Gabriel Attal, ils viennent de finir sa carrière ! Ils ne devaient pas l'aimer du côté d'Emmanuel Macron ou d'Elisabeth Borne...", a-t-il asséné. Olivier Truchot a reconnu que l'ex-ministre des Comptes publics se lançait un périlleux défi. "On n'est pas aimé quand on est ministre de l'Education nationale...", a-t-il notifié. Ce à quoi Bruno Poncet a commenté : "Comment tu veux changer ? L'éducation nationale, c'est comme la santé, elle est dans un état tellement délabré... En plus, il te fait des effets d'annonces qui sont exceptionnels...".
"C'est-à-dire que le mec, il arrive le 20 juillet pour t'expliquer qu'au 5 septembre, tout sera mieux et que Pap Ndiaye n'a fait que de la merde...", s'est agacé le chroniqueur des Grandes Gueules, émission où Charles Consigny a eu un violent accrochage avec Bernard de la Villardière. "On se doute bien que la rentrée, elle ne commence pas maintenant. C'est préparé avant... En tout cas, c'est le plus jeune ministre de l'Education nationale de la Ve République !", lui a répliqué Olivier Truchot.
"C'est le ministre de l'Education nationale qui n'a jamais fréquenté l'Education nationale de France, il a toujours été à l'école privée...", a surenchéri Bruno Poncet. Une remarque que n'a pas supportée Sarah Saldmann. "Mais ce n'est pas de sa faute ! C'est les parents qui l'ont mis, alors arrête ! Ca, c'est trop facile...", s'est emportée la chroniqueuse des "GG" qui a provoqué les écolos radicaux en martelant qu'elle continuerait à prendre deux bains par jour.